lundi 23 janvier 2017

Séchage par l'alimentation et le sport : tout un programme

Un sujet est venu sur le tapis ce week-end, comment m'assécher après des semaines cool et surtout avoir le courage de le faire.Il est vrai qu'avec l'hiver, il faut avoir le courage de sortir pour aller faire son sport et faire attention pour ne pas trop prendre et là je parle de matières grasses.

Alors quand on dit, "il faut que je m'assèche cela veut dire" : perdre du poids, du gras mais pas de muscle.
le but étant de conserver la masse active favorable à l’acquisition d’un « poids de forme ». Pour info, le poids de forme correspond au poids pour lequel le sportif est dans les meilleures conditions physiques, physiologiques et psychologiques pour réaliser une performance.
Pour les sports d’endurance comme marathon, cyclisme, trail, triathlon… : il s’agit d'avoir un rapport poids/puissance optimal avec un coût énergétique minimal.

En parallèle de votre préparation sportive, il faut savoir que pour faire « fondre la masse grasse », il est nécessaire que les dépenses énergétiques soient plus importantes que les apports dans un rapport de -25% maximum.
Privilégiez le travail d’intensité faible voir moyenne type footing lent, marche nordique, cyclisme, cardio-training qui augmente la consommation des graisses à l’effort d’autant plus que la masse musculaire est développée.
De plus, ces activités permettent d’accroître les dépenses énergétiques pendant et après l’effort pendant plusieurs heures. Maintenez un rythme minimal d’une séance tous les deux jours. La mémoire cellulaires étant de 48h!

Pour la partie alimentation, partez sur 4 à 5 prises : petit-déjeuner, déjeuner, dîner + Collation(s) du matin et/ou de l’après-midi. Ce modèle alliant plusieurs prises alimentaires permet d’augmenter le métabolisme de base, de faciliter le maintien de la masse musculaire, d'avoir 
une récupération plus rapide et de ce fait, votre corpulence et votre composition corporelle sera améliorée.

Optimisez votre apport en protéines, en privilégiant autant les protéines animales (tous les types de poissons, viandes peu grasses) que végétales (légumes secs, céréales…). Il est intéressant que cet apport soit d’environ 1.5g/kg/j afin de limiter les dégradations musculaires liées à l’effort physique et aux dépenses énergétiques.
En association, les glucides simples (miel, fruits secs,…) sont préconisés en fin de séance pour ré-alimenter les réserves de glycogène et faciliter la récupération. Et enfin, la plus grande part revient aux glucides complexes qui participent au support de l’énergie sur la journée pour supporter les charges d’entraînement hebdomadaires.
L’apport de lipides, doit être minime mais de bonne qualité nutritionnelle. On s'orientera vers des acides gras essentiels comme les huiles de colza et d’olive.

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